#82 MON SLAVE TRAINING 3/3
Dans cette série, en trois séances, je te forme progressivement à être un esclave parfaitement soumis. Ici, il s’agit de la troisième session. Avec cette vidéo d’hypnose érotique, tu vas renforcer ton obéissance à ma voix et à mes mots, chaque fois que tu la regarderas.
PARTICIPATION : oui
OBÉISSANCE : forte
EXCITATION : possible
ORGASME : possible
#esclave #slave #training #bdsm #soumission #gay #hypnose #erotique #slavetraining #hypnosedemec
Avant de regarder cette séance, merci de lire les Conseils d’utilisation et de sécurité sur la page FAQ.
La soumission n’a plus rien de sulfureux. Pour les gays comme pour les hétéros d’ailleurs. Le fantasme de s’abandonner dans les bras d’un homme dominateur s’assume désormais sans complexe. Mais si beaucoup avouent aimer le fait d’être dominé, de quoi s’agit-il vraiment ? Voici cinq nuances de soumission…
La soumission soft : « Claque-moi les fesses mais pas trop fort »
C’est devenu absolument banal dans le porno et cela prend de plus en plus de place dans notre intimité. En mode plan cul ou en couple, on aime bien alterner entre « faire l’amour » et « baiser ». L’actif domi soft se fait un plaisir de dispenser des petites claques, donnant à son passif un sentiment de douce humiliation jouissive qui le pousse à toujours mieux se cambrer. Quelques petits mots « sales » peuvent venir pimenter le tout. Ne pas trouver une scène de porno gay aujourd’hui qui comporte un minimum de domination relève de l’exploit. Se faire prendre à 4 pattes et recevoir une éjac faciale à genoux est presque devenu la norme.
La soumission hard : « Traite-moi comme un bâtard »
« Ca te dit de venir te faire sauter par moi et mon pote ? ». On passe à un stade supérieur de la soumission, acceptant de se soumettre non pas à un 1 mais à 2 garçons qui ne se priveront pas de faire des commentaires salaces alors que l’un se sera glissé dans la bouche et l’autre dans le derrière. Les barrières tombent : on suce en regardant l’actif droit dans les yeux, on encaisse plus d’insultes, des coups de boutoir plus violents, on ouvre la gueule pour « se faire mollarder », on « décrasse des panards » si on nous le demande, on se laisse corriger avec des claques ou des fessées qui peuvent faire mal… Cette transition vers le hard marque un désir plus profond de s’oublier, de s’abandonner, avec le désir d’obéir, de suivre les ordres, de se déconnecter du réel pour ne plus être qu’un « esclave ».
La soumission cérébrale : « Tu m’appartiens »
Ici, on quitte toute sexualité lisse pour entrer dans la domination sous hypnose érotique. Plus méconnue, renouant avec le caractère subversif originel de la soumission, l’approche cérébrale fait basculer dans un autre monde. Le temps du rapport dominant-dominé, le soumis se donne totalement à l’actif qui va devenir son « master ». Articulée sous forme d’initiation, la soumission cérébrale se vit réellement lors de « séances » plutôt que de plans, se déploie sur la durée et demande une réelle forme d’engagement. Le maître commence un dressage consistant à rendre son partenaire de plus en plus docile au fil des séances. On parle aussi de « formatage » soit mettre dans la tête du « slave » consentant qu’il est né pour servir un mâle dominant, pour lui obéir, le servir et lui « vider les couilles ». Et soudain la porte s’ouvre à tout un tas de jeux et situations : dogtraining, mise à disposition à d’autres actifs lors de plans type tournante... Je te laisse découvrir dans le catalogues d ‘hypnose érotique toutes les pratiques qui te font le plus fantasmer !
La soumission SM : « Fais-moi mal »
Si le fait de s’abandonner totalement peut s’avérer être libérateur, ce n’est également pas nouveau que la douleur se mélange souvent au plaisir. La soumission peut ainsi amener à un certain masochisme. L’humiliation cérébrale ne suffit plus, on a envie de sentir physiquement la puissance et la domination du maître. Se faire marcher dessus, se faire travailler et violemment pincer les tétons, « encaisser » des dildos géants, être fouetté jusqu’à être marqué, découvrir l’électro, le fist, brûler de désir alors que se déverse sur le corps la cire chaude des bougies.
La soumission extrême : « Lope ouverte à tout »
Se lâcher et expérimenter c’est bien mais n’y a-t-il pas un moment où il faut savoir utiliser le « red code » et dire stop ? Emportés par des pulsions sauvages et parfois destructrices, sujet au syndrome de l’escalade, certains gays partent en quête d’un « toujours plus » vénéneux. La soumission devient alors un exutoire périlleux et le pire peut survenir. On peut finir par jouer avec le feu au point de se brûler. On fricote avec un dominateur peu scrupuleux qui nous jette dans une tournante avec 10 actifs là pour « défoncer une chienne » en mode « no capote ». Sans vouloir jouer aux moralisateurs, cette dernière nuance nous met dans une position sacrément inconfortable car elle inclut de transformer la sexualité en roulette russe, menace la santé et l’équilibre psychique autant que physique. Mouais, si des séances extrêmes te permettent de le fantasmer sur MALEXCIT ce n’est certainement pas pour t’encourager à passer à l’acte. Il n’y aura jamais jamais jamais d’ancrage dans mes sessions d’hypnose qui t’y pousseront, au contraire, le but est ici de « vivre » virtuellement tes fantasmes pour ne plus avoir envie de le faire en vrai.